[Cthulhu 1] S02E01 : l'homme Non Euclidien

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DarkBeber
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[Cthulhu 1] S02E01 : l'homme Non Euclidien

07 nov. 2010, 08:45

Londres, 12 avril 1933.

Il est presque 17h30 à l’horloge ancestrale qui se tient fièrement dans le salon bleu du 24 Great George Street. Autour de la cheminée de pierre où crépite un timide feu accueillant, dégustant leur thé importé des colonies, nos amis conversent en attendant leur hôte, Frida Grass.
Il y a là Harold Howe, illustre chasseur ayant parcouru le monde pour traquer nombre de bêtes féroces et plus sauvages les unes que les autres. Ses cheveux grisonnants et ses traits usés dénotent avec sa stature encore solide et sa poigne impressionnante, forgée par une vie à la dur, dans les climats les plus inhospitaliers de la planète.
A ses côtés, un homme encore plus imposant tente maladroitement d’attraper un biscuit dans le plat de porcelaine qui se trouve sur la table basse face à lui. Il s’agit d’Hermann Spiegel, medium spécialisé dans l’hypnose régressive vers les vies antérieures. Il tente d’expliquer à sa voisine les dernières théories en vogue au sein de la société de Thulé.
La jeune femme semble l’écouter poliment, installée confortablement dans un fauteuil de cuir profond. Abigail Harrow paraît jeune et espiègle, sans doute tient-elle cela de sa profession d’artiste de cabaret. Son corps idéalement sculpté par la pratique régulière de la danse, son visage doux, contraste avec la corpulence massive et molle de Spiegel.
Elle ne semble d’ailleurs pas très intéressée par ses histoires et préfère se tourner vers Victor Paddington, héritier d’une longue et noble lignée de Lord au service de la gloire de la couronne britannique. D’une trentaine d’année, d’une allure irréprochable et d’un maintien exemplaire, il a le contact facile et trouve immédiatement, tout en restant courtois et diplomate, les mots adéquats pour interrompre Spiegel et sauver la jeune femme de son discours abscons.
Ce petit manège amuse Dan Carter, qui reste à l’écart de ces échanges, mais n’en perd pas une miette. Encore bel homme, il semble naturellement doué pour se fondre dans le décors, peut-être est-ce dû à son calme constant, ou bien à son expérience de détective privé…
Ils sont finalement rejoint par leur hôte, Frida Grass, charmante jeune femme d’origine allemande, à la tête de la branche européenne de l’organisation à laquelle ils appartiennent tous : la Loge d’Argent. Ce regroupement discret de personnes aux talents divers s’est donné pour but de rechercher au plus profond de la vérité et de découvrir les mystères insondables de la vie, et de ce qui peut se cacher au delà, afin d’en préserver le grand public.

Frida leur apprend qu’elle a reçu une invitation pour un symposium scientifique un peu particulier, tenu par la société Pneumamétrique. Cette société regroupe des scientifiques et de généreux donateurs, qui tentent ensemble de mener « une recherche multi-disciplinaire sur les frontières de la conscience humaine, débarrassée de la pensée orthodoxe traditionnelle en la matière », ce qui au fond cadre bien avec les objectifs de la Loge, à la différence qu’elle préfère œuvrer cachée et qu’elle est bien plus étendue à travers le monde.
Spiegel lui répond justement qu’il a également été invité, en sa qualité de membre de la société de Thulé et de grand médium. Frida a également une autre invitation destinée à Georges Eric Cromwell, éminent mathématicien et physicien de l’université d’Oxford, qui se trouve être un membre de la Loge.
Ils s’arrangent donc pour y aller tous les six, en formant pour le temps du symposium des couples d’opérettes : Frida part au bras de Victor Paddington, tandis que la pauvre Abigail doit accompagner Spiegel. Carter jouera le rôle du valet de Howe. Les voilà parti en voiture, direction le château de Lord Victor Hamilton, président de la société Pneumamétrique. Après une journée entière de route, harassant voyage à cette époque, c’est sous une pluie battante et un orage violent qu’ils arrivent en vue du château. Celui-ci se trouve planté au milieu d’une petite chaîne de montagne escarpée. Une route étroite et raide les y amène, mais après un virage, un énorme rocher se détache de la falaise et dégringole sur eux. Paddington braque un peu tard et ne peut empêcher le rocher de percuter sa voiture, et de l’entraîner vers le ravin de l’autre côté de la route. Panique à bord, mais fort heureusement, le rocher finit par s’immobiliser, laissant la voiture avec une roue dans le vide. Au loin, le vent siffle étrangement, ressemblant presque à un rire…
Un peu secoués, nos investigateurs vont chercher de l’aide au château et rapidement, à l’abri de l’orage, dans un vaste hall style rococo, ils font connaissance avec Mme Hamilton, la mère de leur hôte. Elle leur propose de se reposer un peu dans leur chambre, puis de les rejoindre pour la soirée, afin de rencontrer les autres participants du symposium.
Ainsi, au grand salon, ils font la connaissance de plusieurs membres de la société pneumamétrique :
- le professeur Victor Hamilton, spécialiste de l’utilisation des ondes d’énergie pour les traitements psychiatrique. Féru de philosophie orientale et mystique, ils discutent volontiers avec Spiegel
- le professeur Lambert Kingsfort, éminent astronome ayant découvert récemment des ondes cosmiques en provenance de Pluton !
- Howard Hillyer, docteur, faire valoir d’Hamilton
- Walter Reicher, ingénieur de génie venue de Californie
- George Bastin, richissime industriel finançant la société
- Gerhardt Pfister, chimiste qui n’a pas peur d’afficher sa sympathie pour le régime nazi
- Alphonse La Mal, aliéniste français, qui semble porter une admiration sans faille pour Hamilton
Ils rencontrent également Margaret Hillman, dilettante venue découvrir les travaux de la société pneumamétrique, à la recherche d’un projet à financer
La soirée se passe, quelques invités sont déjà partis se coucher, certains PJ sont partis fouiller le manoir… lorsqu’un cri strident se fait entendre à l’étage !
Accourant ventre à terre, à part Spiegel qui a du mal à se déplacer dans l’urgence, ils découvrent madame Hamilton, figée devant la porte ouverte de la salle de bain, un peu d’eau coule à ses pieds, elle tient la clé de la porte à la main…
Dans la salle de bain, George Bastin gît dans son sang, la gorge tranchée. Le visage à moitié couvert de mousse à rasée, il semble s’être écroulé alors qu’il se tenait devant un évier qui a débordé et qui coule encore.
Howe explique à Hamilton que son valet est également un ancien policier et qu’il est préférable de lui laisser prendre les choses en main. Hamilton accepte et envoie également prévenir la police du village. Carter inspecte donc le cadavre en priant à la petite foule qui s’est regroupée à la porte de la salle de bain, de lui laisser de la place et de ne rien toucher.
L’angle et la profondeur de la blessure de Bastin ne laissent aucun doute sur le fait que Bastin ne s’est pas fait ça lui même. Pourtant, madame Hamilton confirme qu’elle a trouvé la pièce fermée de l’intérieur… le meurtrier devrait donc s’y trouver encore… mais s’il y avait un meurtrier, ne devrait-il pas avoir laissé quelques traces de pas sur le sol humide et ensanglanté ? Rien… à part un étrange petit rire que Connor entend au fond du couloir, il croit même apercevoir une vague déformation dans l’air, comme si une vague de chaleur s’y tenait… ils interpellent ses camarades, mais le temps qu’ils se retournent, cela a disparu.
Les domestiques et madame hamilton commence à parler de fantôme, d’autres tentent de rester rationnels, mais le doute persiste. Carter interroge toute la maisonnée, mais n’apprend rien d’utilisable. L’on décide donc d’aller se coucher, ne pouvant plus faire grand chose d’autre pour le moment.
Howe, toutefois, a une dernière suggestion. Il propose de procéder à un rituel qu’il tient d’un vieux sage sorcier de la jungle. Ce rituel permettrait de contacter les esprits des morts.
Bien installé avec ses frères et sœur de la Loge, à l’abri des regards indiscrets, Howe commence son rituel et chantonne une douce litanie dans une langue étrange. Il s’arrête et semble communiquer avec quelqu’un. Apparament, il est le seul à voir et entendre son interlocuteur si bien que certaines membres de l’équipe ne croit guère en son histoire. Howe ne prend pas trop ombrage de ce manque de confiance de leur part, ils ne peuvent pas comprendre, après tout. Il leur explique tout de même ce qu’il a pu apprendre : Bastin se savait poursuivi depuis des mois par une personne inconnu qui voulait sa mort !

La nuit passe, tout est calme, à l’exception de la chambre où dorment Abigail et Hermann. Ce dernier tente en effet une approche désespérée vers la jeune femme, qui ne manque pas de le repousser de toutes ces forces, si bien que Connor qui dormait dans la chambre voisine est forcé d’intervenir pour calmer l’affaire.
Au matin, un policier du village voisin, l’agent Garfield, commence à interroger tout le monde, mais il n’est clairement pas à la hauteur d’une telle enquête.
La conférence du professeur Hamilton est repoussée à l’après-midi, afin de laisser Garfield faire son travail. Nos héros en profitent pour investiguer également, et fouinent dans la bibliothèque. Ils y découvrent une chose intrigante : un symbole est gravée au dessus de la porte d’entrée de la pièce. Il représente une étoile à 5 branches avec une petite flamme en son centre. Selon les connaissances d’Abigail, il s’agit d’un signe de protection contre les entités maléfiques, un point que Frida confirme.
Ils y trouvent également un livre rappelant l’histoire de la famille. En particulier, l’histoire de Nicolas Hamilton, au XVII, qui avait fait face à une horde de paysans qui lui en voulaient d’avoir tué une paysanne. Mais cette version de l’histoire s’oppose à une autre, où en fait, le comte serait un chasseur de sorcière, et les villageois, les membres d’un culte local dangereux. Il aurait confisqué leurs livres de sorcellerie à cette époque.
De son côté, Connor, à la demande d’Hamilton, persuade Garfield d’aller enquêter ailleurs, dans les registres du village, histoire qu’il ne gâche pas la conférence de l’après-midi.
Les autres invités discutent, ne savent pas trop quoi penser, échangent leurs théories jusqu’en début d’après-midi où la conférence peut enfin commencer. Le professeur Hamilton se prépare a présenter ses deniers travaux lorsqu’il aperçoit que Reicher manque à l’appel, lui qui est toujours si ponctuel. Son épouse s’inquiète : et s’il était arrivé quelque chose à lui aussi ?
Hamilton demande à Miss Frida qui semble bien dégourdie d’aller à sa recherche.
Elle trouve rapidement Reicher, ou plutôt sa partie inférieure, étalé dans une marre de sang, les tripes dégoulinantes sur le parquet du bureau d’Hamilton… le demi cadavre traîne devant une fenêtre fermée pleine de sang… deux étages plus bas, dans un parterre de fleur : le tronc du malheureux gît lamentablement. Nos amis se réunissent sur les lieux du crime pour tenter de comprendre ce qui a pu se passer. Comment la fenêtre a pu se rabattre assez violemment pour découper un corps humain ?! Le verre de la fenêtre laisse apparaître d’étranges traces, comme si la matière elle-même avait été abîmé. Aucune empreinte visible, aucun dépôt quelconque… Leur incompréhension semble amuser quelqu’un, car là encore, ils entendent ce rire désagréable venant de nul part !
En découvrant la mort de son collègue, le professeur Hamilton semble abattu et ne sait quoi dire.
Laissant là cette scène écœurante, Abigail part dans le grenier pour fouiner, elle y trouve des vieilles malles qu’elle entreprend de fouiller et c’est alors qu’elle est témoin d’une étrangeté glaçante : alors qu’elle enlevait un à un les paquets de vêtements d’une malle, en se tournant pour les poser délicatement par terre, elle se retourne vers la malle et sous ses yeux elle trouve un dossier qu’elle était sûr de ne pas avoir vu la seconde d’avant. Elle l’attrape mais n’ose l’ouvrir. Elle tremble un peu et le glisse sous ses genoux et continue de fouiller la malle… repoussant à plus tard l’échéance terrible de découvrir ce que peuvent cacher ces documents qui apparaissent ainsi mystérieusement.
Les autres investigateurs dirigent les invités au salon, pour ne pas être dérangés et tente de parler avec Hamilton. Spiegel essaye de le convaincre de tenter une hypnose régressive, afin d’en savoir plus sur son fameux ancêtre chasseur de sorcière.
Hamilton refuse et déclare qu’il va se reposer, mais il ne réussit à échapper à la surveillance de Connor et de Howe qui le voient s’éloigner et ouvrir un passage secret dans un mur ! Ils le suivent tous, à l’exception d’Abigail toujours dans le grenier, et finissent dans une sorte de laboratoire secret ! Ultra moderne, froid, lise et brillant, contrastant farouchement avec le décors baroque du château, il regorge d’instruments étranges. Sur un côté, des murs d’appareillages laissant grésiller ça et là des arcs électriques. Face à cela, un énorme radiotélescope relié à un imposant système remontant au plafond et se finissant par un cône miroitant, pointé vers une table au centre de la pièce. Quelques étagères ça et là, un tableau couvert de formules mathématiques, des fioles diverses et variées sans étiquetage…
Ils confrontent Hamilton qui finit par tout avouer !
Les recherches d’Hamilton, Kingsford, Reicher, Hillyer et Bastin consistaient à étudier les ondes radios de Pluton et a les utiliser pour accéder au savoir cosmique, Kingsford étant persuadé que les ondes proviennent d’une intelligence extraterrestre. Ils étaient accompagnés d’un sixième homme : Kemp, qui fut volontaire pour subir les bombardements d’onde, il y a plusieurs mois. L’expérience eut l’air de réussir sauf sur la fin lorsqu’il est devenu fou et a tenu des propos absurdes. Il a énucléé Kingsford en tendant juste le doigt vers lui… et a écrit cette mystérieuse équation qu’Hamilton n’a jamais réussi à comprendre. Puis, il fut soulevé dans les airs et broyé par deux mains gigantesques et invisible, il ne resta de lui que des cendres.
Mais voilà… « Kemp doit être vivant, ça ne peut être que ça » conclut Hamilton, presque fiévreux. C’est à ce moment que Kemp, puisque c’est bien lui, décide d’intervenir et signale sa présence par son ricanement si particulier. Hamilton prend peur et courre vers la sortie mais il est soulevé par Kemp et projeté contre un mur. Connor perçoit à nouveau cette perturbation dans l’air et tire ! Il touche !
De son côté, Frida accoure vers la porte du laboratoire dans l’idée de tracer à la craie le symbole qu’ils ont trouvé dans la bibliothèque, elle pense qu’il faut le mettre au même endroit qu’elle l’a vue : au dessus d’une porte. Howe, lui, a presque la même idée mais commence à le tracer sur sol.
Paddington, observe tout cela, surpris et fasciné, tandis que Spiegel plus alerte qu’on ne pourrait le croire, attrape la première chose qu’il trouve et la lance à l’endroit où se tenait Hamilton avait d’être projeté… c’est à dire devant la porte… c’est à dire là où Frida courre…, c’est donc elle qui reçoit la fiole d’acide qui lui brûle le dos !
Kemp ne se laisse pas tirer dessus impunément, il fait voler une table sur Connor. Paddington le voit faire et se jette vers Connor pour le prévenir. Malheureusement et bien que Connor l’avait repéré lui aussi, ils ne sont pas assez vifs, et se font tout les deux toucher. Ils se retrouvent au sol, avec une grosse contusion et une table en travers de la gueule.
Kemp rigole de plus belle et parle un peu… il dit vouloir vengeance… Quelques phrases sont échangées avec les investigateurs.
Frida en profite et parvient, malgré la douleur, à dessiner le symbole, tandis que Howe finit le sien sur le sol. Kemp ne se fait plus entendre, les choses ont l’air de se calmer… Hamilton s’est relevé et tente à nouveau de fuir, mais Kemp le fait tomber par terre et en se moquant de lui. Il le soulève encore et s’apprête à le jeter contre les attirails électrique. Connor, qui s’est relevé et qui est toujours attentif, perçoit encore l’insaisissable créature et lui tire dessus ! Il semble le toucher gravement, à entendre le cri terrible que lâche Kemp qui disparaît définitivement dans un champ tourbillonnant qui se dissipe en vagues volutes difformes… mais dans un dernier effort, l'homme non euclidien a tout juste la force de projeter Hamilton qui meurt, la nuque brisée par le choc.

La créature vengeresse semble détruite… son accidentel créateur aussi… que faire ?
Frida propose de recruter les deus savants fous restant, Kingsford et Hillyer. Pour ce qui est des meurtres, ils décident de faire profil bas et de ne parler personne du laboratoire secret et de la mort d’Hamilton. Les racontars locaux et la superstition des villageois devraient combler les trous de l’histoire.
Grâce aux explications de Kingsford et à l'étude des travaux du groupe, qu'ils n'hésitent pas à récupérer, nos héros comprennent donc que les bombardements de pluton ont dû projeter Kemp dans un état transitionnel permanent entre différentes dimensions, ce qui lui permettait de naviguer librement sans être assujetti aux lois de notre espace temps...
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Mickey
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Re: Saison 2 - Episode 1 : l'homme Non Euclidien

08 nov. 2010, 10:47

Super compte rendu, félicitation! :D
David81
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Re: Saison 2 - Episode 1 : l'homme Non Euclidien

08 nov. 2010, 14:53

Super résumé comme d'habitude ^^

Vivement la prochaine partie, le groupe à l'air prometteur ! :lol:
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Enormatro
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Re: Saison 2 - Episode 1 : l'homme Non Euclidien

08 nov. 2010, 17:25

Globalement, cette version du scénario manque terriblement de Schpopeck ...
Enfin, j'dis ça, j'dis rien ! :lol:
- Pardon, M'sieur, elle est à vous la hache à deux mains ?
- Oui ?
- Bon, vous voudriez bien l'enlever de mon crâne, parce qu'elle me gêne pour boire ma bière.
[---]
- Merci, trop aimable ...
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Jaqueline
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Re: Saison 2 - Episode 1 : l'homme Non Euclidien

19 nov. 2010, 10:31

Je suis bien d'accord, vivement la suite, on va tous mourir lors de la terrible PHASE DE MYTHE! :lol:
"Ok je vais vous la mimer... J'étais à la cueillette aux champignons...
- Mais bordel ça doit pas être la saison c'est pas possible!"
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Mickey
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Re: Saison 2 - Episode 1 : l'homme Non Euclidien

19 nov. 2010, 10:36

Tiens d'ailleurs, réflexe de rôliste:
y'a pas d'XP et de modifs sur notre SAN suite au scénar? :grin:
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DarkBeber
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Re: Saison 2 - Episode 1 : l'homme Non Euclidien

19 nov. 2010, 10:47

Les modifs sur la SAN ne peuvent survenir que :
- si vous tomber à - de 45 en EM... ce qui n'est pas arrivé, vu que le scénario était très light en terme d'horreurs indicibles
- si vous perdez un pilier de SAN... ce qui devrait prendre un peu de temps, ne soyez pas pressés

Les XP ne peuvent être gagnés que :
- si vous jouez à un autre jeu
- si j'ai envie
- si vous passez du temps à développer une compétence quelconque entre 2 scénarios espacés dans le temps
- question Mythe de Cthulhu, ça progressera petit à petit


D'ailleurs, j'hésite à appliquer la super règle suivante : utilisation de la compétence Mythe de Cthulhu : succès automatique, mais perte automatique d'un point de SAN...
Ca pourra servir à déterminer quel type de monstre vous pistez... quel sortilège a été utilisé... quel Grand Ancien se cache derrière cette secte impie...
Si ça vous tente...
Votez Cthulhu !
David81
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Re: Saison 2 - Episode 1 : l'homme Non Euclidien

19 nov. 2010, 11:02

Pourquoi pas ... ^^
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Mickey
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Re: Saison 2 - Episode 1 : l'homme Non Euclidien

19 nov. 2010, 11:22

DarkBeber a écrit :Les XP ne peuvent être gagnés que :
- si vous jouez à un autre jeu
- si j'ai envie
:lol:

Ok, c'est noté (comme j'ai survolé cette section de la V6 et ai trouvé leurs propositions sympas, et qu'on en avait pas parlé, je me posais la question)

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