Vampire Requiem 2015-2016 S3 : topic de campagne

[Booz]

Ce sujet pour tout ce qui traitera de la campagne (hors planification des parties, couverte par le sujet dédié).

SOMMAIRE :

[table]

[tr][td]Les Burnasses :

• Andreas
• Jean-Louis
• Jean-Rémi
• Alex
• Marienieves

Lieux :

• Rêves : Paris, Picardie 1944, Le "cube"
• Chez René
• L'Élysée "La Mine"
• Café Marly, Élysée Premier État (à venir)
• Extérieur de Paris
  • Pontoise (Josette MICHU, Germain MONTAIGU)
  • Seine St-Denis (cité, Khalid)
  • Nord (hangar, non exploré)
• Londres (à venir)

Documents/Objets

• Pacte
• Discours d'Hector
• L'horloge de René màj
• Le contrat
• Le bassin chez René (à venir)
• The Temple nouveau
• La Grande Nuit / Les Grandes Chasses (déjà connu)

[/td]

[td]PNJs Damnés :

• La Trinité
  • Hector BOUTEILLER
  • Malik màj
  • Justine màj
• L'Institut
  • Clément MATHON
  • Simon FOURRÈS
  • René GAUMONT (mort)
• Le Premier État
  • Jacqueline HARENCOURT màj
  • Hoaï PHU
  • Sofia GOLDSTEIN (Berlin) (à venir)
  • Franz (Berlin) (à venir)
• Le Lancea Et Sanctum (à venir)
  • Bénédicte TESSIER
  • Christian (à venir)
• Les traîtres identifiés
  • Elisabeth DOMKINS màj
  • Maxime DUPOND
  • Juliette PARK
  • Romain DUCHESNE
  • Émilie GALLET
• Carmen
• Miss DJXT
• Germain MONTAIGU

[/td]


[td]PNJs humains/autres :

• Josette MICHU
• Guillaume COTIN (à venir)
• Raymond RENAUD
• Fildyel màj
• Greschwinn
• La main (Éric, Papy, Anou, Indy, Aurie) màj
• Janet (à venir)

[/td][/tr][/table]

[Booz]

Paris fractal 1, 2 & 3
Une nuit d'été, ambiance chaude et agréable, lumière jaune des éclairages de rue.
D'abord le bar qui semble familier à tout le monde mais ne correspond à aucun de connu. Personne en vue, musique qui s'arrête. Réalisation soudaine qu'une inondation est en cours, de l'eau monte partout, anesthésiant progressivement les membres qui y trempent. Pas de réseau téléphonique, pas de GPS, pas de moyens de transport, enseignes de rue génériques.
Fuite sur le toit de l'hotel, diverses expériences dans l'escalier qui attestent de l'effet anesthésiant de l'inondation. Morts diverses par noyades ou suicide.

« Réveil » au même endroit, diverses tentatives paniquées, parcours de la rue qui se répète à l'infini, fuite sur le toit de l'hôtel, morts diverses par noyades et/ou suicide.

« Réveil » au même endroit, inspection du bar, découverte d'une bouteille dont l'eau s'écoule à l'opposé de la gravité, et d'une boule à neige représentant l'immeuble du bar. Bris de la boule à neige, cataracte soudaine d'eau détruisant la scène.

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Guerre en Picardie 1
Émergence dans une rivière, habillés façon années 40, une étoile jaune. Ambiance fin d'été, expériences avec des vaches invisibles. Crash d'un avion en feu : avion de guerre de 1944, un parachute qui tombe au-delà du village. Dans le village, bruits d'habitants qui ne sont pas visibles ni tangibles.
Sur la route, arrivée de véhicules allemands et d'un escadron SS. Soldats invisibles, seuls vêtements et armes visibles, les yeux du commandant flottent dans le vide du casque. Confusion, dispersion, diverses morts violentes par balles. Intérieur d'église recouvert de merde gluante.

Guerre en Picardie 2
Émergence dans la même rivière, mêmes habits. Ambiance plus froide de fin d'automne, crash d'un bombardier sur l'autre rive. Fine pluie de cendres. Exploration, découverte couvertures dans un buisson, épave avion inexploitable. Remontée de la rivière jusqu'au même village, méthodiquement fouillé. Cadavres brûlés (faux?) ci et là dans le village. Découverte de caches d'armes, d'un album photo et d'un recueil de poèmes. Pluie de cendre qui forcit.
Exploration de l'église qui a bougé : très propre et rencontre avec Germain Montaigu. « Réveil » du Christ-bois-féminin et des ronces, tentative de bûcher mais « elle » immobilise et trace une marque au front. Mort par douleur plus que par effondrement de l'église en flammes.

Guerre en Picardie 3
Émergence dans la même rivière mais glacée, marque au front toujours sensible. Neige au sol, froid sensible (gel). Remontée de la rivière qui ramène au même village, cette fois-ci brûlé en grande partie, sans cadavres.
Église qui a encore bougé depuis la dernière fois, en direction de la rivière, toit brûlé. À l'intérieur, toujours Germain et un bassin bas non gelé remplace le christ. Vidange du bassin qui finit par geler. Fouille du village, album photo et recueil de poèmes récupérés et étudiés.
Retour au village, fouille des abords de la rivière et de la carcasse d'avion.
Diverses expériences d'imposition de volonté à l'environnement, avec quelques rares succès menant à une vision très fugace lié à un court réveil d'Andreas. Pseudo vibration de l'univers, très temporaire.
Poursuite des expériences dans l'église dont l'étude révèle qu'il s'agit d'un faux.
Reprise d'une vibration et arrivée de multiples assaillants par la porte. Tous identiques avec treillis militaire blanc hiver, casque, masque facial moustachu de mardi gras et poignard à la main droite.
La bataille s'engage, Jean-Rémi parvient à aller fermer la porte et la bloquer. Les assaillants sont progressivement éliminés de façon plus ou moins barbare, mais laissant Jean-Louis et Andreas à terre, mortellement blessés.
Une fois sortis de danger, Marienieves dévoile le visage d'un assaillant, il s'agit de René GAUMONT. Une fois reconnu, l'univers se dissout et tout le monde tombe sur le sol d'une pièce.

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René GAUMONT

Identifié à partir de Germain MONTAIGU, des photos incohérentes de l'album, et du recueil de poèmes.

Homme dans la trentaine, aspect quelconque, porte des lunettes à monture épaisse (très vintage) et des complets plutôt clairs (photos en noir et blanc). D'après les dates au dos des photos, il serait né vers 1925 en Picardie et aurait vécu un épisode difficile de la seconde guerre mondiale, auquel il a survécu. À partir des années 50, il semble ne plus vieillir sur les photos, jusqu'à la dernière, datée de 2010.

Le recueil de poèmes parle d'une rencontre avec la mort et d'une contrepartie pour renaître. À cette résurrection qui le rend orphelin, succède une recherche de ses parents, une longue errance dans l'inconnu et la perdition dans l'entremonde. Il y aurait rencontré le Diable et subit la torture de ses piqûres et n'en serait revenu que condamné à faire le même repas sous une menace décrite comme une épée de Damoclès.

René a appartenu officiellement à l'Institut mais en aurait été "écarté" du fait de ses recherches, incompatibles avec l'objectif et l'éthique de cette structure.
D'après les photos retrouvées dans la malle à la cave, il aurait été marié à une certaine Hortense juste après la guerre, qui aurait continué de vieillir, la dernière photo datant de 1976.

Lien avec les PJ :
Dans le passé :
Marienieves est sûre de l'avoir croisé dans le cadre professionnel en 1997 à Paris, pour des analyses d'échantillons sanguins.

Dans les "rêves" :
René et ses "copies" ont attaqué les PJ dans la fausse église picarde.
Il est question de René dans le central informatique, à la fois comme suspect potentiel sur un nombre important de morts, et dans l'appel téléphonique reçu par Andreas.
Il aurait tenté d'attaquer Jean-Louis dans la pièce-morgue avant de se faire égorger par le grand black (identifié comme Malik).
Il était présent en tant que cadavre desséché dans la bibliothèque et a participé au mouvement vers le faux patriarche Jean-Rémi.

Dans le présent :

• René était assis au centre de la pièce au "réveil" de tout le monde, le corps criblé d'épines perçant sa peau, arborant un masque de douleur atroce, les tubes des cathéter de ses prisonniers lui rentrant dans les bras. Sur son front, des absences localisées d'épines dessinent le même idéogramme que celui de l'horloge.
• Il ne reste de lui, conservé sous bonne garde à l'Institut dans les appartements de Clément, que le réseau de ronces qui lui transperçait le corps. À l'endroit qui devait être sa bouche, une fleur extraordinaire a éclos, présentant des caractéristiques anormales selon Marienieves : pas d'organes reproducteurs, espèce inconnue d'elle et ne semble pas se faner. En s'approchant, le front de Marienieves la démange.
• L'interrogatoire de Raymond RENAUD révèle que René aurait conclu un contrat avec une certaine Fildyel, contrat comportant des échéances, marquées par l'horloge.
• L'interrogatoire à distance de Germain révèle que René l'a infanté, illégalement, en 2005. Jusqu'en 2010, il garde son infant caché, jusqu'à ce que ce dernier comprenne que René est lié à une créature d'un autre univers, Fildyel, à laquelle il devait fournir un tribut sans cesse croissant, sous la forme d'humains livrés à travers un portail. Germain le quitte alors en 2010.

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Germain MONTAIGU

« Êtes-vous vous-mêmes ou l'idée que quelqu'un a de vous ? »
« Et ne touchez pas à ma grand-mère !!! »

Jeune geek de 25 ans, blond et peu loquace, portant survêt et sweet à capuche. Il a sur lui un ordinateur portable à l'écran blanc.
Il se dit prisonnier de cette église et apparaît convaincu d'être le souvenir que René a de lui vu que sa mémoire s'arrête aux moments vécus ensemble.
Hors du rêve, c'est un damné reclus à l'image de son créateur (René), qui s'est exilé à Pontoise, hors du territoire du Pacte. Il est joignable via une adresse mail obtenue par Andreas.
Germain veille aussi sur sa grand-mère, Josette MICHU.

Lien avec les PJ:
Andreas se souvient avoir rencontré Germain lors d'une conférence sur la sécurité informatique en Allemagne, en 2005.

Germain est à l'origine du sms envoyé à Simon, exactement lorsque Elizabeth et Maxime se sont introduits chez René, alors qu'il avait déjà ressenti une terrible angoisse précisément à minuit. Il dit aussi avoir vu une femme entrer nonchalamment avant, ce via une caméra qu'il avait installé dans la cour.
Andreas a pu le rencontrer brièvement sur un quai de RER, où il a pu lui confirmer la mort définitive de René.
Germain a révélé tout ceci lors d'un interrogatoire par téléphone, depuis l'Élysée et en présence d'Hector, lors duquel il a décliné avec force l'offre d'un sauf-conduit pour venir sur place.

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Le "cube"

Arrivée dans une pièce claire, carrelée sur les murs et le sol, carrée, avec 3 portes battantes. Les PJ sont répartis sur les différentes faces, chacun étant soumis à une gravité différente.
Ils sont aussi habillés en blouses de patients d'hôpital.
Les trois portes sont ouvertes avec précautions et donnent sur 3 salles différentes (et d'autres encore à la suite) :

Le laboratoire d'analyses
Cul-de-sac rempli de paillasses et d'instruments en tout genre, Marienieves s'y reconnaît.
Elle retrouve l'environnement de son labo, sauf un microscope qu'elle ne reconnaît pas. Une plaque est installée et à l'oculaire elle lit une lettre de Clément MATHON lui demandant d'aller voir René de sa part.
Marienieves perçoit aussi nettement le bruit d'une éprouvette qui est agitée et cognée, ce qu'elle finit par dénicher dans un placard. Une fois en main, l'agitation s'arrête, un liquide rouge se trouve à l'intérieur. En ouvrant le bouchon, une poussière scintillante s'en échappe à flot et vient recouvrir l'environnement de Marienieves : elle se trouve sur une allée herbeuse dans une forêt.
S'avançant dans une direction, elle trouve René adolescent, tétanisé avec un genou à terre, des épines semblant pousser de sous sa peau, un masque de douleur indicible sur son visage. Une agitation semblant venir de plus loin dans l'allée et une impression de menace pousse Marienieves à repartir dans l'autre sens, qui débouche dans un cul-de-sac sur un bassin similaire à celui de l'église. La menace s'approchant, elle se jette dans le bassin et reprend "conscience" dans son labo, vêtue de ses vêtements de ville.

Le central informatique
Cul-de-sac aussi, un immense écran de verre remplit tout le fond de la pièce du sol au plafond, affichant des tableaux des hyperterminaux, des interfaces de base de données etc. Andreas y trouve ses marques et consulte les activités en cours.
Il tombe sur des analyses de données provenant de la morgue centrale de Paris, en particulier sur la section de Jean-Louis, et sur les résultats de corrélations renvoyant une liste de potentiels liens, pour ne pas dire suspects. Parmi eux se trouve le nom de René GAUMONT.
À cet instant, le téléphone du bureau sonne. Andreas décroche et entend une voix gênée qui prévient René qu'il connaît "leurs lois" et que "s'ils l'apprennent", il ne pourra pas l'aider. Puis ça raccroche.
Là-dessus, l'écran en verre s'éteint brusquement. Andreas s'approche et aperçoit deux yeux rouge-ocre s'ouvrir quelques mètres derrière l'écran, des iris circulaires nets, une grande pupille noire. Les yeux s'abaissent et se jettent soudain sur Andreas. Une grande panthère noire s'abat sur l'intérieur de la paroi de verre, ses pattes puissantes tapant violemment sur l'écran, ses griffes acérées anormalement grandes commençant à fissurer le verre.
Andreas s'enfuit de la pièce, habillé de ses vêtements usuels.

La dépose de taxi
Rond-point privé et souterrain, un taxi est à l'arrêt moteur tournant avec du monde à l'arrière. Dans l'axe de la porte, une allée fermée par un portail cadenassé. Alex identifie son véhicule à l'intérieur du quel se trouve 3 pseudo-individus. Humains jusqu'au cou, la tête n'est qu'un bulbe régulier de chair recouvert de peau, sans nez ni bouche ni yeux ni cheveux. Le GPS répète en boucle "vous êtes arrivés à destination", indiquant le 13 impasse de la Libération.
Alex tombe dans un état de choc léger et refuse catégoriquement de s'approcher des "passagers".
Les 4 autres arrivent dans la pièce avec diverses motivations et virent les 3 choses. Jean-Louis semble reconnaître un bout de vêtement, d'un cadavre autopsié. Tout le monde s'installe dans le taxi qui fonce sur le portail cadenassé alors que la panthère semble avoir brisé le verre du central informatique et bientôt franchi la dernière porte.

Le tunnel
Le taxi avec ses 5 passagers surgit lancé au milieu d'un tunnel autoroutier de 4 voies, baigné de jaune par les lampes à sodium et vide de tout véhicule.
Tombant de plusieurs mètres, le poids diversement orienté de ses occupants déséquilibre la voiture mais Alex parvient à contrôler la terrible embardée à l'atterrissage. Son brave taxi détruit s'arrête rapidement.
Après une sortie prudente de la voiture, Marienieves va ouvrir le coffre à la recherche de sangles, mais le referme bien vite et semble éprouvée : il serait plein de restes humains.
Le taxi commence à prendre feu, tout le monde se dirige au mieux de sa gravité, vers le premier poste refuge du tunnel.
Au loin devant, une silhouette sombre et trapue avance vers eux, marchant avec une canne. Les lumières du tunnel s'éteignent progressivement au loin, l'avalant rapidement. Derrière, le même phénomène avec une silhouette de grand félin. Tout le monde se dépêche de rentrer dans le refuge et la porte est fermée à temps pour bloquer l'assaut de la panthère.
À l'intérieur du refuge, petite pièce carrée avec 3 portes battantes. Jean-Rémi, Jean-Louis et Marienieves en ouvrent chacun une.

La morgue
Jean-Louis tombe sur une longue salle avec environ 70 brancards portant autant de corps sous des draps blancs
Il regarde quelques fiches attachées aux orteils, puis découvre deux brancards. Il sort ensuite de ce couloir de mort(s), consulte ses compagnons « d'aventure » et y revient.
Jean-Louis soulève les draps un à un, qui tous lui rappellent des souvenirs oubliés, jusqu'à tomber sur le corps de René qui se relève armé d'un poignard.
Jean-Louis se défend en gagnant du temps et faisant rouler des brancards en travers, pendant qu'un grand black franchit la porte du fond. René l'aperçoit et commence à reculer apeuré face au black. Ce dernier semble s'évaporer et réapparaître à portée de crocs, et attaque René sauvagement.
Jean-Louis fuit de la pièce.

Le bureau de rédaction
Jean-Rémi trouve son bureau à la rédaction, dans une pièce au fond recouvert de notes punaisées sur du liège.
Par recoupements, Jean-Rémi reconstruit une ébauche d'enquête commencée sur un organisme scientifique appelé l'Institut.
Après un certain temps passé là-dedans, les autres arrivent à la suite de Jean-Louis en cherchant une porte de sortie.
Or, Jean-Rémi vient d'ouvrir une telle porte à travers le liège et tous rentrent plus ou moins prudemment dans cette nouvelle pièce.

La bibliothèque
Éclairé seulement au niveau du sol, des murs et rayonnages montent jusque dans le noir. Au centre, une grande table rectangulaire avec 10 sièges occupés par des momies. Au bout, une chaise vide avec une étiquette « Patriarche ».
Jean-Rémi se place sur la chaise du Patriarche et commence à jouer le rôle de président de conseil d'administration avec autorité, ce qui réveille les cadavres desséchés. Ils se lèvent et vont lentement jusqu'à Jean-Rémi.
Andreas, aux prises avec une gravité adverse, arrive alors en parlant de ronces, une main de momie vient enserrer l'épaule de Jean-Rémi et un énorme coup est porté à la porte d'entrée.
Tous se dirigent alors vers la double porte de sortie, forcent pour l'ouvrir et tombent sur un sol de pierre froide.

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Après cette partie du 11 déc bien dense (de mon point de vue au moins ), le topic de campagne a été mis à jour : les dernières modifs sont indiquées sur le premier post .

Il y a eu à la toute fin pas mal de détails personnels aux PJ, je vous laisse les exposer ici à la suite si vous souhaitez en faire part à tout le monde .

Concernant la mécanique de combat, comme discuté brièvement en débrief, c'était une façon de faire beaucoup trop complexe à gérer, même si elle a eu quelques effets intéressant en cours de fight (les interruptions d'actions qui ont pu être jouées).
Pour le prochain combat d'envergure, on testera la façon la plus simple de faire (l'extrême opposé ) :
- jet d'init au début du combat et valable pour la scène.
- annonce ET résolution des actions par initiative décroissante, à chaque round (et possibilité de retarder votre action ou la mettre sous conditions).
- un temps limité (5s ? ) pour dire ce que vous faîtes à ce tour, après ça votre perso est en défense totale pour le round.

Il y a aussi quelques subtilités du combat qu'il me faudra mieux prendre en compte pour la suite, désolé je me rôde aussi au système

Pour la prochaine séance, il nous faudra revenir tranquillement sur ce qui s'est passé à la fin, mettre Jean-Louis au parfum, traiter les conséquences psychologiques de l'épisode de l'église que j'ai laissé passer trop vite, et continuer l'exploration la descente en enfer dans le terrier.

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La panthère noire

« Grrr... »

Grande panthère noire avec deux particularités :
- iris des yeux rouge-ocre
- crocs et griffes extrêmement acérés

Lien avec les PJ :
Apparait dans plusieurs pièces du "cube".

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Hector BOUTEILLER

« Des révolutionnaires vous dites ? Parlez m'en davantage... »

Petit mais bien charpenté, il semble avoir la cinquantaine, crâne dégarni sur le haut, cheveux blancs sur les côtés et canne à la main gauche. Cette dernière fait plus élément de style qu'aide à la mobilité.
Il est vêtu d'un costume gris par-dessus un veston marron rehaussé de quelques fils d'or, et une cravate rouge sombre. L'ensemble raffiné sent le sur-mesure et habille bien sa morphologie ingrate.
Hector parle d'une voix qui semblerait désinvolte si elle n'était accompagnée d'un regard perçant de ses petits yeux qui vous accordent toute leur dérangeante attention.
Il semble résider à demeure dans l'Élysée, où ses citoyens dévoués viennent le rencontrer.

Avant la Grande Nuit, Hector dirigeait le Mouvement Cartien, dont il a pris ses distances, semble-t-il coupant complètement les ponts, avant de devenir Président du Conseil, ce qui en fait le dirigeant de cette communauté parisienne.
Il a initié le Pacte il y a une trentaine d'années avec l'aide de Carmen à la fin de la Grande Nuit, rassemblant tous les restes des factions ravagées derrière un contrat commun. Il aurait "naturellement" pris la présidence du Conseil nouvellement formé, imprimant son idéal révolutionnaire dans la rédaction du Pacte.

Il se montre disponible envers qui vient le visiter à l'Élysée sous la Défense.

Lien avec les PJ:
Apparaît dans le tunnel du "cube".
Fait partie du comité d'accueil au réveil dans l'Élysée, où il reste discret et très attentif. Toutefois, les rares occasions où il s'est exprimé, le reste du comité lui prêtait plus d'attention qu'aux PJ.
A prononcé le discours lors d'une convocation exceptionnelle de l'Assemblée, où est attribuée aux PJ une citoyenneté temporaire, à valider au prochain solstice d'hiver.
En coulisse et petit comité, il a confié la mission aux nouveaux-nés d'enquêter sur la mort de René, à laquelle ils semblent étrangement liés.
Hector a été régulièrement informé de l'avancée de l'enquête des PJs, directement et aussi vraisemblablement par leurs mentors ou par les membres du Conseil.
Sa silhouette ressemble vaguement à celle du persécuteur de Raymond RENAUD, telle que décrite par Marienieves lors d'une de ses visions.

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Malik

« Toi tu vas me suivre sans faire d'histoire. Aucune... Et si t'es sage, je t'en raconterais p't'être même une. »

Grand individu à la peau noire, d'origine clairement africaine, au blanc des yeux et aux dents brillant du plus bel ivoire.
Porte sur la droite du cou et jusque sur l'oreille, des cicatrices formant des plaques, comme une brûlure chimique toujours récente, ce qui ne le gêne pas du tout.
A un sens de l'humour avéré, mais peut aussi se montrer ... juste impressionnant.

Bras droit d'Hector, il est officiellement chargé de faire respecter le Pacte et de maintenir l'ordre.

Lien avec les PJ:
A attaqué René dans la morgue du "cube".
Se trouve présent dans le comité d'accueil au réveil, va notamment chercher Alex à la fin de sa frénésie de fuite, et aide les PJ à raconter les événements récents qu'ils ont subi.
Il y apparaît compatissant et de bonne volonté.
Sa volonté s'imprègne facilement de celle d'Hector, c'est actuellement de trouver les traîtres.

Malik a été désigné comme le tuteur de Jean-Louis par le conseil.
Sa chasse au traître l'amène à passer quasiment une nuit complète en planque avec Justine et Jean-Louis à un endroit où Alex dit avoir entraperçu Juliette, ce qui pour une fois ne le rend pas jouasse. À l'approche de la Purge, comme d'autres, il conseille au PJs de rester discrets et au calme, même si toute prise d'initiative contre une présence non-citoyenne sera appréciée.

Rendu furieux par la découverte de Wilbur Mulligan et de sa correspondance, il ne peut pour l’instant amener ça sur la table du Conseil car il manquerait de support, même avec la confiance d’Hector.

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Chez René

Petit hôtel particulier mal entretenu, on y accède pas un passage couvert et une petite cour circulaire.
Les marches du perron mènent à un vestibule simple accueillant l'escalier.
Au rez-de-chaussée :

• cuisine jamais rénovée, dans un état pitoyable
• une grande pièce ronde avec 4 portes en bois massives et aucune fenêtre. Le sol est en faux marbre, les murs ne montent pas très haut et un dôme coiffe le tout. L'ensemble fait très 19ème siècle, largement éclairé par des ampoules installées sur de faux candélabres accrochés aux murs. Une horloge à pendule occupe un espace entre deux portes.
  René était installé au centre, assis sur un fauteuil moderne, avec les extrémités des cathéters des PJ liés à lui.
• un petit salon avec juste un peu moins de poussière sur un fauteuil, installé à côté de l'antique téléphone à cadran.
• un jardinet triste avec sa table de jardin rouillée, son gravier envahi de mauvaises herbes et son petit bassin vide en voie d'être englouti par les plantes. Le bassin rappelle celui présent dans l'église du rêve ainsi que celui de l'escapade de Marienieves dans le rêve du cube.

À l'unique étage :

• Des chambres inutilisées depuis une vingtaine d'années.
• Un bureau-bibliothèque croulant sous les papiers, revues, études, dossiers, archives et notes. René a visiblement beaucoup travaillé à étudier l'origine des propriétés de la vitae, pendant de longues années.

À la cave, une pièce principale servant de couchage à René et une petite deuxième cave.

Ont été trouvés :

• Un répertoire papier aussi simple que vide, à côté du téléphone du salon, rempli de quelques initiales associées à des numéros plus ou moins récents.
• À la cave :
  • Une urne funéraire dans l'un des rares recoins dégagés, vraisemblablement liée à la malle d'affaires de femmes et de photos de couple de René et une certaine Hortense.
  • Une baignoire ayant servi à contenir des produits chimiques agressifs, des sangles de maintien de vieux bloc opératoire (en cuir avec œillets métal, larges et très solides)
  • Une poubelle contenant un tas de cendres et quelques restes de tissus de vêtements, reconnus par Andreas sur les 3 passagers humanoïdes du taxi dans le rêve.
  • Un seau rempli de cendres et de petits bouts d'os d'origine humaine très probablement.
• Une horloge à pendule dans la pièce circulaire du réveil (voir post dédié).

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Elisabeth DOMKINS

« Nous pouvons vous aider, SUIVEZ-NOUS, allons nous mettre à l'écart de cette horreur. »

Jeune femme aux cheveux châtain foncé tirés en queue de cheval, traits harmonieux, taille moyenne et deux grands yeux aux iris vert sombre, hypnotiques autant que sa voix calme et posée.
Porte un élégant tailleur taupe, un haut beige et des chaussures à talons moyens.

Est maintenant identifiée aux traîtres et déchue de sa citoyenneté, recherchée d'une part par le Conseil, et par la police investiguant une piste fictive (lancée par Jean-Louis) de tueur en série. Ces derniers rapportent de réguliers voyages à Londres, à peu près une fois l'an.
Elisabeth est l'infante de Jacqueline, la représentante (et dirigeante) du Premier État, ce qui fera de sa capture un événement très politique et potentiellement explosif s'il a lieu.

A habité un appartement dans le quartier du Louvre mais semble avoir quitté les lieux juste après la nuit de crise (voisins la sachant partie, appartement rangé et sans affaire très personnelle).

Via les sms stockés sur le téléphone de Wilbur Mulligan, il est avéré qu'Élisabeth était restée en contact avec Jacqueline après sa déchéance de citoyenneté, et qu'elle a fuit à Londres.

Lien avec les PJ:
Arrive au moment de leur "réveil" face à René.
Conduit Alex, Andreas, Jean-Louis et Jean-Rémi à sa planque, à la cellule révolutionnaire qui lutte contre l'organisation criminelle à laquelle appartient... appartenait René GAUMONT.
Elle observait qu'il était remarquable que vous ayez survécu, et vous propose de rejoindre leurs rangs dans la lutte contre cette oppression.

Par les révélations du Temple, Elisabeth travaillait sur une opération de déstabilisation du Pacte, nommée "Sisyphe", et dont au moins Andreas est un pion important.

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Maxime

« Hey, ça va gars ? T'as pas la frite on dirait. »

Tout droit sorti de la plage, pas si grand que ça, chemise fleurie (mais défraîchie), bermuda délavé, pilosité visible.
Blond foncé par mèches, cheveux tirés en arrière, barbe de 3 jours règlementaire, visage carré mais nez crochu, yeux bruns.
Imperceptible sourire en permanence, se balade pieds nus et arbore quelques tatouages grossiers sur les membres.

Lien avec les PJ:
Arrive avec Elisabeth au réveil des PJ face à René, sort de la pièce en dernier.

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Justine

« Hmm hmm... »

Petite brune, le visage rond encadré par un carré plongeant soigné, et posé sur un col roulé noir.
Porte une veste en cuir usagée, un jean usagé et des baskets (sans trous mais bon...), ce qui atténue quelque peu sa silhouette très féminine.
Plutôt réservée, semble avoir du mal à décrocher la mâchoire, ou tout simplement sans envie de parler plus que nécessaire.

Justine conduit visiblement son rôle d’émissaire auprès des autres capitales européenne, directement en pilotant son jet privé lourdement modifié.
Sinon elle conduit aussi systématiquement des voitures ou motos de sport.

Lien avec les PJ:
Était dans le comité d'accueil. A montré la photo du "cadavre" de René.
Justine a déterminé l'ascendance d'Andreas en goûtant son sang et en le rattachant à la lignée GOLDSTEIN.

Elle a amené les Burnasses à Londres et les a largué avec succès aux abords de Heathrow. Justine leur a aussi communiqué un numéro de portable où la joindre en cas de besoin, pour une aide vraiment nécessaire ou pour l’exfiltration des Burnasses et/ou d’Élisabeth.

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Carmen

« Allons, ne vous laissez pas abattre, le requiem est riche d'opportunités, de bas bien sur, mais aussi de hauts. »

Bel homme, la trentaine rayonnante avec un visage avenant et toujours une amorce de sourire. Présente des traits méridionaux et arbore des cheveux noirs coupés courts, une discrète et simple boucle d'oreille à droite comme touche de couleur dans le coin.
Très amical et sympathique, en permanence.
Habillé d'un polo clair, un pantalon de toile beige, le petit pull passé sur les épaules et des bateaux aux pieds, bref, l'image type du golfeur.

Les autres citoyens de Paris en parlent comme d'un mystère, un damné plus ancien que les autres survivants de la Grande Nuit. Le fait qu'il ait impulsé le Pacte avec Hector et ait ensuite pris ses distances avec le pouvoir suprême local, suscite des réactions contrastées parmi les autres citoyens.

Lien avec les PJ :
Soutien psychologique au Premier Réveil dans l'Élysée, où il semble compatir pleinement et prêt à aider les nouveaux-nés.La veille de la Purge, il est venu chez René prévenir les PJs que :

• Tout citoyen est au courant de cette histoire d'horloge, l'éventuel secret est totalement éventé.
• Si cette faiblesse est réelle, planquer cette saloperie est une priorité, la Purge étant un moment d'instabilité notoire pendant lequel les "accidents" peuvent facilement arriver.

Il est reparti sans être rentré plus loin que le vestibule.

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