Résumés

[Aline]

Randal Kingkade, détective privé, Maccao, juin 1938.
Nous nous apprêtons, mes amis et moi, à partir en expédition loin vers le nord-est chinois. Pour atteindre la ville où nous allons, il nous faut quitter Maccao, ville portugaise et donc neutre et tranquille, traverser les lignes jap qui occupe presque toute la chine, traversé aussi le Fleuve jaune que les chinois ont fait déborder pour noyer les japs.
Comment on en est arrivé là ?
C’était il y a une semaine environ, mes amis et moi avions passé une nuit bien arrosée dans un bouge des quartiers chinois. Au matin chacun a décidé de regagné son chez soit quand nous avons remarqué quelque chose de bizarre. Les gens du quartier évitaient soigneusement une ruelle. Nous n’avons pas mis longtemps à comprendre ce qui effrayé temps les chinois. Un cadavre reposait au fond de la ruelle, un poignard ornementé planté en pleine poitrine. En fouillant un peu le cadavre, je me rendis compte qu’il avait sur lui un portefeuille volé avec la carte d’identité d’un certain Gonzag Dacosta ainsi que la carte d’un casino, « Le lotus pourpre » et un petit écrin en bois noble vide pouvant accueillir, à la forme, sans doute une pierre précieuse.
Etant détective et entre deux travail, je me dis qu’enquêter m’occuperais un temps. Mon ami journaliste fit une photo du poignard. Ca poignet était ouvragé avec deux tigres en jade et ça lame en argent. Tandis que le journaliste interrogé les passants et que le magiciens insistait pour qu’on prévienne les autorités, je vérifiais si la cadavre n’avait aucune marque le reliant à quelque gang que ce soit et le journaliste appris que le poignard était la marque d’une société secrète appelé les « Tigre de jade ».Mon examen terminé, nous sommes allé prévenir le chef de la police et le voyant rechigner devant cette enquête, il a était convenus que nous nous occuperions de l’enquête.
Notre première étape fut de chercher ou vivait Mr Dacosta. Il vivait dans un hôtel sordide. Ses voisins, qui ne le voyaient que peut avant, ne l’avaient pas vus depuis environs un moi. Dans son appartement, nous n’avons rien trouvé d’autre qu’une liasse de billet contenant l’équivalent d’un salaire de notre cher médecin, comme il nous le fit lui-même remarquer.
Nous avons alors cherché le « Lotus pourpre ». C’était un casino huppé dans le centre de la ville. A part le magicien, aucun de nous n’était assez bien habillé pour entrer et il fut décidé de revenir le lendemain. Le lendemain en début de soirée donc, le magicien alla jouer au black jack et le médecin et moi sommes monté bien décidé à découvrir ce qu’il s’y passé. L’étage était composé de deux parties différentes, une fumerie d’opium et des prostituées. Le médecin décida d’allé faire un tour au bar au rez-de-chaussée avant d’allé voir la fumerie. Il me restait donc les prostituées. Je n’étais pas emballé par cette idée mais mes compagnons auraient pu avoir des doutes si j’avais refusée. Bon grès mal grès, j’entrais dans une chambre avec une demoiselle. Quoi qu’il arrive, il ne fallait pas qu’elle me voit nus alors je décidé d’allonger quelque billet afin qu’elle réponde à toute mes questions et rien d’autre. Elle ne connaissait pas Dacosta et m’appris que les « Tigre de jade » étaient de dangereux criminel qui n’avaient jamais mis les pieds à Maccao. J’appris aussi que le gèrent de l’établissement, Mr Tu, avait ce qu’on appellerait « un commerce florissant ».
Il fut donc décidé d’allé voir Tu après que nous lui ayons posé quelques questions à propos de Dacosta et qu’il nous ai appris qu’il était en commerce avec Tu et qu’il avait disparu depuis trois bonne semaine au moins.
En entrant dans le bureau de Mr Tu, la première chose qui nous frappa, avant même les 4 gorilles déjà présent dans la pièce, fut le cadavre étranglé de Mr Tu. Les quatre hommes étaient coriaces. J’en tuais un et blessait un autre. Deux d’entre eux s’enfuir mais se tuèrent en tombant du toit. Le médecin eut juste le temps de récupérer les documents dans le coffre de Tu avant que Mr Ping n’entre, alerté par les coups de feu.
Nous nous sommes retirés dans mon cabinet et la décision fut prise de patienter jusqu’au lendemain après avoir jeté un œil sur les documents.
Au matin, deux hommes entrèrent, envoyé par Ping. Il nous demandaient de les escorter à 1500km vers le nord-est.

[JML]

Merci pour ce rafraichissement de mémoire. Je laisse aux camarades de notre enquêteur le soin de compléter ou corriger ce récit des évènements