Re: Résumé de la campagnounette en cours
Publié : 14 déc. 2013, 15:21
Nous sommes arrivés au campement et ce qui s’offrit à nous développa de nouveau mon stress alors que le combat du lézard et la foudre sur l’arbre, dans la journée précédente, étaient presque oubliés.
La moitié de la communauté était en cercle autour d’un cadavre mais, heureusement, ce n’était pas l’un des nôtres. Le corps sur le ventre avait la tête invisible car encastrée dans le sol et la Sophie était bien fière de son acte. Le corps presque nu recouvert d’une étrange matière verte très sombre avec aussi du blanc, comme Eddy fait parfois pour mieux se camoufler, rappelant les formes des os peut-être... Une cage faite de récup’ munit d’une petite glissière pour accéder à l‘intérieur était accrochée à son dos ; ça grouillait de choses, certainement des grenouilles qu’ils avaient chassé et récupéré. J’y ai enfoncé mon manche de bike à mike pour y sentir des grenouilles molles et en ressortir un liquide suintant que j’ai bien nettoyé…
Nous avons eu le retour du déroulement de la nuit, de l’attaque de ces fous, et nous avons appris le pire : Flo et Lucy c’étaient fait enlever !!
Dans ce camp infesté de grenouilles tout allait pour le pire !
Le vieux Ben fonça sous les tentes pour aider Belle et Muse. Les deux déliraient ; parlant seul avec une grosse fièvre. La première avait été touché au ventre par une flèche et de la blessure sortait une étrange matière, notre connaisseur enleva la croûte et s’occupa d’elle avec l’aide de Rachelle la couturière.
Pendant ce temps là un climat de peur s’installa, tout le monde étant choqué par les évènements. Dans cette folie Boss ne put s’empêcher d’arranguer la foule afin de partir d’ici au plus vite laissant Flo et Lucy à la mercie de nos ennemis et, l’escouade partit à leur recherche se composant de Fox, Juliana, Flam et Alice, sans nouvelles de nous.
Je n’ai pas pu m’empêcher de lui tenir tête.
Il voulait abandonner les autres…
Il voulait fuir et remettait en cause les choix de Thomas, notre chef à tous, celui qui a toujours essayé de nous trouver le paradis… son père ! Il ne sait pas ce que c’est que de ne plus avoir de famille ce salaud !
Il essaya de me frapper, me sautant dessus telle une bête enragée, mais en esquivant son attaque je ne fis que le mettre plus bas que terre car il tomba dans la boue ; Greg le releva et le calma en l’éloignant.
Il m’en voulait…
Il y allait avoir un clivage dans la communauté.
Le conseil se réunit et revint nous expliquer que la décision pour le groupe, pour la communauté, serait faite par vote.
Thomas nous laissa le temps d’y réfléchir, il était deux heures de l’aprem et nous avions quelques heures pour débattre :
*Certains voulaient rester un peu le temps que Théo monte une machine avec les pistons ramenés pour ensuite foncer vers la communauté du sud-ouest et tenter d’y troquer notre sel ; obtenant peut-être un vrai véhicule ou au moins un maximum d’informations sur la région.
*D’autres désiraient foncer têtes baissées chez l’ennemi pour les massacrer et ramener les enfants enlevés. D’après l’escouade de Fox qui était rentrée bredouille, avec une Alice hystérique et attachée sur l’épaule d’un des gars, que j’ai eu du mal à calmer, les traces des fous allaient jusqu’à des marécages, à une demi-journée de marche d’ici, mais rien de concret n’avait été trouvé après disparition de la piste remontée et, même si Alice s’y opposait, ils ont dû abandonner la traque et rentrer au campement.
*Enfin, ceux qui voulaient suivre l’idée de Boss : ils voulaient partir tout de suite au sud-ouest avant que les fous ne reviennent la nuit nous enlever ou pire encore… disant que nous ne sommes pas protégés.
Pendant ce temps avec Théo nous avons décider d’agir et de réfléchir à comment défendre notre position au mieux.
Les coups de feu entendus par le vieux Ben durant la tempête la veille n’étaient donc pas un rêve… nous avions subi une attaque de nuit et il fallait trouver un moyen de remédier à nos failles. Apprenant que l’ennemi avait sûrement escaladé, nous pensions que créer un deuxième anneau dans le campement serait la meilleure des idées. Autrement dit, que les carcasses déjà posées et très bien faite pour éviter la vermine soit un premier accès de hauteur à passer AVANT d’entrer dans le camp mais que, une fois ce premier anneau passé, on espérait avec difficulté, l’ennemi serait plus que démasqué car entre les carcasses et ce nouveau mur, le deuxième anneau.
Nous pourrions ainsi voir plus facilement ce qui passe à l’intérieur de nos murs et, si besoin, avoir le temps de canarder dans le tas.
Nous nous mimes au travail mais cela semblait être un chantier à long terme. La matière ne manquant pas mais la terre aussi sèche il fallait pouvoir creuser pour créer quelque chose de stable. A ce propos Théo a trouvé un dépôt de pioches/pelles dans un coin du campement.
L’heure arrivait à grands pas.
J’ai à peine eu le temps d’aider Théo, de parler à l’escouade de Fox pour en apprendre plus sur ces marécages et notre nouvel ennemi adapté, de glisser un mot à Emilie pour le vote, la dernière des enfants. Oui, je dis ça car il est maintenant difficile de compter Alice parmi eux : elle prend ses propres décisions, développe soit même ses actions dans la communauté et, je ne peux l’ignorer, son corps… change.
(je continue une autre fois les amis)
La moitié de la communauté était en cercle autour d’un cadavre mais, heureusement, ce n’était pas l’un des nôtres. Le corps sur le ventre avait la tête invisible car encastrée dans le sol et la Sophie était bien fière de son acte. Le corps presque nu recouvert d’une étrange matière verte très sombre avec aussi du blanc, comme Eddy fait parfois pour mieux se camoufler, rappelant les formes des os peut-être... Une cage faite de récup’ munit d’une petite glissière pour accéder à l‘intérieur était accrochée à son dos ; ça grouillait de choses, certainement des grenouilles qu’ils avaient chassé et récupéré. J’y ai enfoncé mon manche de bike à mike pour y sentir des grenouilles molles et en ressortir un liquide suintant que j’ai bien nettoyé…
Nous avons eu le retour du déroulement de la nuit, de l’attaque de ces fous, et nous avons appris le pire : Flo et Lucy c’étaient fait enlever !!
Dans ce camp infesté de grenouilles tout allait pour le pire !
Le vieux Ben fonça sous les tentes pour aider Belle et Muse. Les deux déliraient ; parlant seul avec une grosse fièvre. La première avait été touché au ventre par une flèche et de la blessure sortait une étrange matière, notre connaisseur enleva la croûte et s’occupa d’elle avec l’aide de Rachelle la couturière.
Pendant ce temps là un climat de peur s’installa, tout le monde étant choqué par les évènements. Dans cette folie Boss ne put s’empêcher d’arranguer la foule afin de partir d’ici au plus vite laissant Flo et Lucy à la mercie de nos ennemis et, l’escouade partit à leur recherche se composant de Fox, Juliana, Flam et Alice, sans nouvelles de nous.
Je n’ai pas pu m’empêcher de lui tenir tête.
Il voulait abandonner les autres…
Il voulait fuir et remettait en cause les choix de Thomas, notre chef à tous, celui qui a toujours essayé de nous trouver le paradis… son père ! Il ne sait pas ce que c’est que de ne plus avoir de famille ce salaud !
Il essaya de me frapper, me sautant dessus telle une bête enragée, mais en esquivant son attaque je ne fis que le mettre plus bas que terre car il tomba dans la boue ; Greg le releva et le calma en l’éloignant.
Il m’en voulait…
Il y allait avoir un clivage dans la communauté.
Le conseil se réunit et revint nous expliquer que la décision pour le groupe, pour la communauté, serait faite par vote.
Thomas nous laissa le temps d’y réfléchir, il était deux heures de l’aprem et nous avions quelques heures pour débattre :
*Certains voulaient rester un peu le temps que Théo monte une machine avec les pistons ramenés pour ensuite foncer vers la communauté du sud-ouest et tenter d’y troquer notre sel ; obtenant peut-être un vrai véhicule ou au moins un maximum d’informations sur la région.
*D’autres désiraient foncer têtes baissées chez l’ennemi pour les massacrer et ramener les enfants enlevés. D’après l’escouade de Fox qui était rentrée bredouille, avec une Alice hystérique et attachée sur l’épaule d’un des gars, que j’ai eu du mal à calmer, les traces des fous allaient jusqu’à des marécages, à une demi-journée de marche d’ici, mais rien de concret n’avait été trouvé après disparition de la piste remontée et, même si Alice s’y opposait, ils ont dû abandonner la traque et rentrer au campement.
*Enfin, ceux qui voulaient suivre l’idée de Boss : ils voulaient partir tout de suite au sud-ouest avant que les fous ne reviennent la nuit nous enlever ou pire encore… disant que nous ne sommes pas protégés.
Pendant ce temps avec Théo nous avons décider d’agir et de réfléchir à comment défendre notre position au mieux.
Les coups de feu entendus par le vieux Ben durant la tempête la veille n’étaient donc pas un rêve… nous avions subi une attaque de nuit et il fallait trouver un moyen de remédier à nos failles. Apprenant que l’ennemi avait sûrement escaladé, nous pensions que créer un deuxième anneau dans le campement serait la meilleure des idées. Autrement dit, que les carcasses déjà posées et très bien faite pour éviter la vermine soit un premier accès de hauteur à passer AVANT d’entrer dans le camp mais que, une fois ce premier anneau passé, on espérait avec difficulté, l’ennemi serait plus que démasqué car entre les carcasses et ce nouveau mur, le deuxième anneau.
Nous pourrions ainsi voir plus facilement ce qui passe à l’intérieur de nos murs et, si besoin, avoir le temps de canarder dans le tas.
Nous nous mimes au travail mais cela semblait être un chantier à long terme. La matière ne manquant pas mais la terre aussi sèche il fallait pouvoir creuser pour créer quelque chose de stable. A ce propos Théo a trouvé un dépôt de pioches/pelles dans un coin du campement.
L’heure arrivait à grands pas.
J’ai à peine eu le temps d’aider Théo, de parler à l’escouade de Fox pour en apprendre plus sur ces marécages et notre nouvel ennemi adapté, de glisser un mot à Emilie pour le vote, la dernière des enfants. Oui, je dis ça car il est maintenant difficile de compter Alice parmi eux : elle prend ses propres décisions, développe soit même ses actions dans la communauté et, je ne peux l’ignorer, son corps… change.
(je continue une autre fois les amis)