Les Enfants de R'lyeh

Le 20 juin, le petit groupe de survivant à l'invasion zombie et d'ange en formation enfile son scaphandre pour une excursion dans l'espace !

Notre partie suivante tombant normalement le 18 juillet, journée où nous cédons la salle pour une tout autre cérémonie néanmoins sacrifiant plus officiellement une vierge (no comment ), la partie peut être reporté sur un autre vendredi de juillet (logiquement le 4). Pour le 18, je peux aussi proposer de nous retrouver chez moi aux mêmes horaires.

Ensuite, il serait plus intéressant, si les disponibilité des joueurs le permettent, d'avoir au moins 2 vendredi de prévu sur août et 1 en septembre. En fonction aussi de la soirée one shot.

Ah ben, je me demandais quand est-ce qu'on y jouerait !

ce vendredi !

Je ferai tout pour pouvoir venir !

bin c'est le créneaux habituel...Joachim est pas là ?

Je ne sais pas, mais ma venue ne dépend pas de Joachim mais de la SNCF dont les voies demeurent impénétrables.

Espérons d'ici vendredi...

*tard*

Moi j'serai là !
J'suis en frénésie de jdr !

après une longue est éprouvante création de perso (3h), perdant Ben entre-temps, découragé par la création. Nos voyageur de l'espace (Aline, Matthieu et Joachim) parte en mission Firewall sur Terre pour la récupération d'une pile corticale.

Les jeunes recrus doivent rejoindre la dernière station orbitale avec ascenseur permettant l'accès à la surface. Après quelque difficultés à rejoindre la station depuis leur capsule, ils accèdent à l'ascenseur et parviennent aussi difficilement à démarrer la descente.

Firewall est très précis et transmet les coordonnées du corps du scientifique à retrouver. L'objectif est à juste quelque pas de leur arrivé. Après quelque couloir, grande salle et robot de mauvaise humeur après avoir reçu un caillou "mal visé", les sentinelles (soldats de Firewall) trouve l'objectif, lui retire (arrache) la pile corticale, ainsi qu'à un autre scientifique qui semblait encore vivant.

Les sentinelles partent ensuite en prenant soin d'éviter le robot pas content, retourne (difficilement) à l'ascenseur et le redémarre (encore difficilement).

Au retour à la station orbital, un vaisseau Firewall les attend pour récupérer les piles et les ramener à la ville la plus proche, Nectar (Cylindre O'Neil).


Beaucoup de jet de dés foireux...

Me voilà en compagnie de deux bleus de Firewall. Le premier, il a l'aire sympa. C'est un octopulpe un peu bizarre. Il n’a pas vraiment de sentiments ou s’il en a, je n’ai pas remarqué. Il est marrant à parler en probabilité. L'autre c'est un casse noix ... Un riche qui ce crois supérieur... Je vais peut-être aller faire un tour dans la base de donné de son entreprise histoire d'y mettre un peu le bazar.

Bref, Nous voilà donc sur la capsule en train de discuter de qui doit sauter en premier dans le vide sans attache pour attendre la station. Ça parait évident que Otto (l'octo) passera en premier en prenant avec lui une corde afin d'arrimer la capsule à la station. Mais en fait non, c'était logique que pour moi et il s’élança donc et faillit finir à la dérive, sans prendre avec lui de câble ... Les bleus ... Après un rapide coup d’œil dans la capsule, je m’aperçus que, de toute façon, il n'y avait rien qui ressemblait à un câble. Et l'autre qui me tapé déjà sur le système ... Voilà qu'il en rajoute une couche. Je me souviens même pas ce qu'il m'a dit tellement c'était hautain et antipathique. Du coup je me suis lancé à mon tour et évidemment, je faillis rater ma cible à mon tour. Heureusement que Otto était là et que j'avais mes chaussure à micro gravité. L’autre je m'en fou, il se débrouille et qu'i se loupe pas, le vide, ça pardonne pas.

C'est une station d'avant la chute. Les parois son troués, ici aussi on est dans le vide. Il y a des corps partout déchiqueté, découpé, gelé, qui vole partout autour de nous. Je rejoins assez facilement le panneau de contrôle de l’ascenseur. C'est du basique mais d'avant la chute ... Ça me prend des plombes et Monseigneur s'impatiente. Alors que je n’ai pas fini on entend un bip caractéristique, une sonde est en approche et si elle nous trouve, on va finir en carpaccio, pas cool ...

Elle sonde en fonction du mouvement et de la chaleur dégagée. Si ça à forme humaine et que ça bouge, elles découpent. On se roule tous les trois en boule et on attend que ça passe. Et le bruit s’éloigne. Le bruit ? Dans l’espace ? Je demanderai à Rhéa, ma muse, si c’est normal … Et je reprends la mise en marche de ce fichu ascenseur qui commence à m’énerver comme il faut. Et ça fini par marcher. La descente vers la sombre et dévasté Terre commence. Une heure en compagnie des deux bleus plus tard, on arrive enfin. Il faut descendre une échelle puis nos pageurs se mettent à jours et nous indique le chemin à prendre dans le bâtiment. Il y a des corps partout qui date de la chute. Ici aussi, les sondes on fait des ravages. On passe une première salle puis une deuxième. Nous voilà bloqué par une porte fermé. Ça prend un certain temps à bidouiller mais elle finit par s’ouvrir de quelque centimètre. Juste ce qu’il nous faut pour passer. Nous voilà dans un couloir avec trois portes : deux sur les côtés et une au fond. Nos pageurs se mettent une nouvelle fois à jour. C’est tout droit en fait donc pas de souci normalement.

Le normalement, c’était jusqu’à ce qu’on tombe sur quartes morphe récemment tué. Là, j’ai eu comme une sensation de déjà vus, déjà venu, danger encourus. Mais je garde ça pour moi, pas la peins d’affoler les bleus pour une impression. Les morphes son étendus devant la porte qui va vers la droite. Elle est ouverte et un bruit métallique en sort. Je jette un œil et aperçoit un bot stationné là. Je retourne dans la salle précédente pour y chercher un petit gravas. Ici aussi il y a du mouvement maintenant, il faudra passer par ailleurs pour rentrer. Mon gravas à la mains je retourne à la salle au bot pour la lancer vers la fond de la salle pour pouvoir fermer la porte et passer tranquillement. Pas de bol, le cailloux tombe sur le bot qui se retourne et commence à nous charger. Nous fuyons donc vers la salle du fond sans perdre un instant.

Une fois dedans, nous fermons la salle, mais le bot essaye de l’ouvrir. Il fait vraiment sombre dans le bâtiment, ça plus mon impression, je ne suis vraiment pas rassuré. En plus Otto nous fait une crise de panique. Est-ce qu’il essaye de mâchonner une de ses tentacules ? Je n’ai pas le temps de le prévenir, que le riche a déjà enfilé ça mains dans le coup de notre cible pour lui arracher ça pile cortical. Ça craint un peu mais bon il a l’aire d’aller bien. Pas de bol … Temps pis, c’est pas ma journée de toute façon. Il se retourne d’un coup et sort son arme et la braque vers moi. Il est malade ce type ! En fait il vise un bruit juste derrière moi. Un autre scientifique est étendu là. Il grogne, c’est bizarre mais ce type est en vie. Je lui coupe la tête d’un coup nette qui laisse apparaître ça pile cortical et l’extrait d’un geste nette. C’est le riche qui la récupère aussi et il est temps de lever le camp. Je leur dit qu’il va falloir passer par ailleurs et Mr plein aux as trouve à redire ce qui a le don de m’énerver. Je prends malgré tout cinq minutes pour lui expliquer la situation et mon pressentiment qui est devenus entre temps de vagues souvenirs épars. Il finit par céder et nous empruntons la porte sur notre droite au pas de courses. Nous traversons une salle de labos puis une autre et encore une autre ou nous prenons encore la porte de droite et nous nous retrouvons dans la salle ou j’avais aperçut du mouvement à l’allé. Je leur cris de courir plus vite et me retourne vers la porte pour apercevoir le bot qui essaye de passer sous le porte. Je trébuche sur un corps qui se trouve là, puis les suis enfin jusqu’à l’échelle. J’essaye de monter trop vite et mon pied glisse. Heureusement, je me tiens bien. J’arrive juste à temps pour commander la fermeture du module et la remonté vers la station. Le bot reste accroché quelque minute puis repart vers la Terre. On est tiré d’affaire. Firewall nous envoie quelqu’un pour nous chercher. On passe par une salle de décontamination et Bourré de tune est retenus là-dedans. La pile la contaminé avec un virus émergeant. Il faut qu’il s’injecte un anti-poison dans l’épaule. J’exprime le souhait de lui faire cette injection mais c’est refusé. Dommage, ça aurait égaillé ma journée.

J’interroge Rhéa sur l’impression que j’ai eue. Elle m’explique que je suis déjà venu ici. S’en suit un trou de trois longs jours. Effacé volontairement ou pas, il me manque des souvenir liée à la mission que je viens d’effectuer. Est-ce qu’un des morphes découpés sur Terre était le miens ? Je travaille pour eux depuis huit ans, pourquoi est-ce que je me retrouve à faire une mission de bleu ?

Merci pour ce résumé, Aline, j'ai éclaté de rire en lisant le début, notamment avec les remarques sur les personnalités et gestes de tes compagnons !

On ressent déjà l'unicité du groupe ( )

Je n'ai pas encore eu l'occasion de lui en parler mais...est-ce que Otto, c'est Joachim ?

Je vous propose de nous réunir pour la suite le 25/07