Larsha ... On est venu, on a vu et ...
Publié : 08 oct. 2007, 08:57
CA Y EST !!!!!!!!!! On est (enfin) sorti !
Pas trop tôt diront certains, sains et saufs diront d'autres ... Je n'en suis pas si sûr.
Ce qui m'a surpris et qui semble-t-il va en surprendre au moins un c'est que deux intrépides et courageux aventuriers sont revenus sur leurs pas pour non pas affronter des squelettes, ça se fut le boulot d'un démon assez imbus de sa personne, mais pour aller récupérer une dague qui "va rapporter un max de tunes". Ce ne fut pas contre toute attente notre démoniste qui mit la main dessus mais notre vaillant zamorien. Dois-je passer sous silence la furieuse envie qu'avait le garde du corps de notre démoniste de démembrer le zamorien ? ... Je crois que oui car notre cher invocateur se fera certainement une joie de nous décrire avec moult détails le regard glacé et les griffes acérées de son familer (bien que je me demande si la créature invoquée était réellement contrôlée).
En fait l'élément le plus marquant fut le fait que notre stygien fut rasé de très près par l'irkanien. Il fut rasé de tellement près que la lame s'enfonça provondément dans ses chairs ce qui le fit trébucher. Comme si cela ne devait pas suffire et selon le principe que deux précautions valent mieux qu'une, Shavadaï planta sa dague jusqu'à la garde dans la gorge d'Anksuntet et le laissa pour mort.
Et oui vous avez bien lu le stygien fut laissé pour mort. Mais comme une catastrophe n'arrive jamais seule, le stygien se releva, voulu aller chercher lui aussi la dague maléfique et comme il ne l'a pas trouvé il a fini par sortir des catacombes aussi frais et dispo qu'une loutre venant de faire sa baignade matinale.
Quand au reste du groupe il remonta des catacombes à son tour dégondant ou fracassant les portes massives qui lui firent obstacles pour se retrouver (la boucle était bouclée), dans le temple maudit entre-aperçu lors de la première visite à Larsha.
La traversé du temple se fit en toute simplicité. Ceux qui avaient un cerveau puissant et des muscles faibles traversèrent sans souci. Ceux aux muscles surdimensionnées et au cerveau moins développé (atrophié ?) devinrent les jouets de la déesse maléfique. Mais le bien triomphant toujours du mal, le barbare fit éclater son point de vu en pulvérisant la machoire du kitaïen qui était devenu une marionette voulant une fois de plus, sacrifier la seule vierge disponible à des kilomètres à la ronde. Afin de ne pas tuer son compagnon contrôlé et dans un sursaut de lucidité le barbare préféra lacher sa hache et se servir de ses poings face à son compagnon d'infortune qui était resté sous le joug de la déesse maléfique.
Que dire de l'arrivée en ville, dans la banlieue dortoir à l'heure où les zonards descendent sur la ville ... ?
Rien, pas grand chose, à part que le stygien s'est fait voler deux chevaux et une mule par un groupe de garde qui eux il faut bien le souligner, se succèdent mais ne changent pas.
Au final après avoir reçu des soins et un bon bain certains ont préféré aller dans une bonne auberge plutôt que de rester chez leur hôte, le marchand Tordan.
D'autres essaient de trouver le gîte mais il semblerait quela dague maléfique, objet de toutes les convoitises, soit en fait un porte poisse modèle grand luxe, qui empêche un voleur bien né de trouver une hostellerie digne de ce nom.
Et le stygien dans tout ça ? ... Il cherche toujours la dague.
A très bientôt pour la suite de nos palpitantes aventures !
Pas trop tôt diront certains, sains et saufs diront d'autres ... Je n'en suis pas si sûr.
Ce qui m'a surpris et qui semble-t-il va en surprendre au moins un c'est que deux intrépides et courageux aventuriers sont revenus sur leurs pas pour non pas affronter des squelettes, ça se fut le boulot d'un démon assez imbus de sa personne, mais pour aller récupérer une dague qui "va rapporter un max de tunes". Ce ne fut pas contre toute attente notre démoniste qui mit la main dessus mais notre vaillant zamorien. Dois-je passer sous silence la furieuse envie qu'avait le garde du corps de notre démoniste de démembrer le zamorien ? ... Je crois que oui car notre cher invocateur se fera certainement une joie de nous décrire avec moult détails le regard glacé et les griffes acérées de son familer (bien que je me demande si la créature invoquée était réellement contrôlée).
En fait l'élément le plus marquant fut le fait que notre stygien fut rasé de très près par l'irkanien. Il fut rasé de tellement près que la lame s'enfonça provondément dans ses chairs ce qui le fit trébucher. Comme si cela ne devait pas suffire et selon le principe que deux précautions valent mieux qu'une, Shavadaï planta sa dague jusqu'à la garde dans la gorge d'Anksuntet et le laissa pour mort.
Et oui vous avez bien lu le stygien fut laissé pour mort. Mais comme une catastrophe n'arrive jamais seule, le stygien se releva, voulu aller chercher lui aussi la dague maléfique et comme il ne l'a pas trouvé il a fini par sortir des catacombes aussi frais et dispo qu'une loutre venant de faire sa baignade matinale.
Quand au reste du groupe il remonta des catacombes à son tour dégondant ou fracassant les portes massives qui lui firent obstacles pour se retrouver (la boucle était bouclée), dans le temple maudit entre-aperçu lors de la première visite à Larsha.
La traversé du temple se fit en toute simplicité. Ceux qui avaient un cerveau puissant et des muscles faibles traversèrent sans souci. Ceux aux muscles surdimensionnées et au cerveau moins développé (atrophié ?) devinrent les jouets de la déesse maléfique. Mais le bien triomphant toujours du mal, le barbare fit éclater son point de vu en pulvérisant la machoire du kitaïen qui était devenu une marionette voulant une fois de plus, sacrifier la seule vierge disponible à des kilomètres à la ronde. Afin de ne pas tuer son compagnon contrôlé et dans un sursaut de lucidité le barbare préféra lacher sa hache et se servir de ses poings face à son compagnon d'infortune qui était resté sous le joug de la déesse maléfique.
Que dire de l'arrivée en ville, dans la banlieue dortoir à l'heure où les zonards descendent sur la ville ... ?
Rien, pas grand chose, à part que le stygien s'est fait voler deux chevaux et une mule par un groupe de garde qui eux il faut bien le souligner, se succèdent mais ne changent pas.
Au final après avoir reçu des soins et un bon bain certains ont préféré aller dans une bonne auberge plutôt que de rester chez leur hôte, le marchand Tordan.
D'autres essaient de trouver le gîte mais il semblerait quela dague maléfique, objet de toutes les convoitises, soit en fait un porte poisse modèle grand luxe, qui empêche un voleur bien né de trouver une hostellerie digne de ce nom.
Et le stygien dans tout ça ? ... Il cherche toujours la dague.
A très bientôt pour la suite de nos palpitantes aventures !