Les Enfants de R'lyeh

L'action se déroule au village de la mer qui chante, port marchand. La partie s'est finie lorsque vous alliez passer la nuit à l'auberge. Vous enquêtez sur une épidémie dans le village. Je laisse le soins aux joueurs de rappeler les divers éléments qu'ils ont récoltés. Pour toute question ne concernant que votre personnage vous pouvez m'envoyer un message privé.

kushiro a écrit :L'action se déroule au village de la mer qui chante, port marchand. La partie s'est finie lorsque vous alliez passer la nuit à l'auberge. Vous enquêtez sur une épidémie dans le village. Je laisse le soins aux joueurs de rappeler les divers éléments qu'ils ont récoltés. Pour toute question ne concernant que votre personnage vous pouvez m'envoyer un message privé.

Lettre Adressée à Kakita Noshiro.

Ma très chère amie,

Je me suis rendu comme tu me l'avais demandé au Village de la Mer qui Chante afin d'y prendre un bateau pour rejoindre les iles Mantis.
Ce village est une charmante bourgade bien qu'elle manque un peu du raffinement auquel on est en droit de s'attendre en territoire Grue mais je ne t'en blâme pas et comprend parfaitement le manque de beauté il faut dire que c'est un Daïdoji qui est Daymio.
J'ai rencontré le Daymio du village, il est tel que je me l'imaginais, grand, fort et respirant l'autorité. Sa demeure est à son image forte et extrèmement bien protégée et Daïdoji Sama est arrivé à faire en sorte qu'avec le peu de moyen à sa disposition, sa demeure paraissent ... très riche et même opulente, comme si ses revenus venaient d'ailleurs que du simple revenu de la pêche ou des taxes d'amarrage.

J'ai eu beaucoup de chance car le bateau que tu m'avais demandé de retrouvé a providentiellement quitté les iles Mantis et il est arrivé en même temps que moi dans le village, lui à quai et moi à l'auberge. C'est un fier navire, taillé pour la vitesse, facilement manoeuvrable pour qui à le pied marin bien entendu et quand il fend les flots il doit inspirer la crainte par sa prestance. En parlant de prestance j'ai eu le privilège de rencontrer son Capitaine, c'est un Bushi Mantis vêtu d'un simple pantalon tel un heimin et à la peau tané tel un Gaïjin mais que demander de plus d'un membre d'un Clan Mineur.

En fait le village est en proie à un mal étrange. De plus il est en quarantaine tant que cette crise ne sera pas résolu. Le seul souci qui assombri un peu le ciel c'est que les vivres commencent à manquer mais je pense que cela va rapidement s'arranger étant donné que je sais de source sûre que le puit du village a été empoisonné par une fiole contenant une substance étrange. Et comme c'est cette eau qui sert à couper le Saké qui est actuellement la seule nourriture disponible, j'en arrive à la conclusion logique que la résolution du mystère est proche.
Je vais donc pouvoir t'aider à récupérer ta cargaison et la faire livrer comme tu me l'a si gentiment demandé.
J'espère que cette lettre te trouvera en meilleure santé et que ta chute de cheval devient un lointain souvenir.

Que les Fortunes veillent sur toi et les tiens,

Ton ami dévoué

Petite précision, le Daymio est un Doji. Mais la garde qui l'entoure est Daidoji pour résoudre cette crise.

Le simple moine que je suis n'a pas grand chose à dire.
Je decouvre des choses et cela suffit à remplir mes journées.
Tant de souffrance mêlée à tant de biens.
Le destin d'une fourmi est insignifiant.
Il a été mesuré et defini par les dieux.
Peut on y ajouter ou en retirer ne serait ce qu'un grain de poussière ?
L'equilibre est nécéssaire car il permet d'eviter les abus.

Oula c'est bien trop philosophique pour moi.

Bien résumé Togashi-san, je n'aurais pas fait mieux, court concis et précis.

Trop de vers, et de pieds, pour un haïku ...

Mais sinon, effectivement, on y est ...

Je ne suis pas poète. Ce simple texte n'a aucune pretention à part refleter ma vision des evenements.
MJ-san ? Je n'irai pas me reposer à l'auberge, je vais mediter puis essayer d'alleger les souffrances non meritées de ses pauvres gens.

Momo a écrit :Je ne suis pas poète. Ce simple texte n'a aucune pretention à part refleter ma vision des evenements.

Sumimasen, Togashi-san !
Ne voyez aucune offense dans mes propos qui n'avaient d'autre but que de cacher, derrière un vernis de cynisme critique, ma honte d'écrivain insignifiant devant la pertinence redoutable de vos propos émise dans une simplicité épurée qui transcende le verbe pour faire éclater le Vrai.

Arigatô Gozaimasu !

Le samourai du Scorpion restait un peu dubitatif face aux évènements. Il partirait, à la vue de tous, vers la chambre qu'il avait réservé afin d'y prendre un repos bien mérité.

Mais la nuit tous les chats étant de couleur passe-muraille ...

... Le soleil matinal pourrait mettre en lumière quelques victimes de cette étrange [strike]empoisonnement [/strike]maladie

Enormatro a écrit : Sumimasen, Togashi-san !
Ne voyez aucune offense dans mes propos qui n'avaient d'autre but que de cacher, derrière un vernis de cynisme critique, ma honte d'écrivain insignifiant devant la pertinence redoutable de vos propos émise dans une simplicité épurée qui transcende le verbe pour faire éclater le Vrai.

Arigatô Gozaimasu !

Togashi San, s'il vous dérange je peux lui trancher la tête ... en toute amitié et pour rendre service !

Je connais un samouraï du scorpion qu'à pas intérêt à ce que sa lettre tombe en de mauvaises mains, sinon il a du souci à se faire...

Je sens qu'il va falloir qu'il apprenne le sens de la parabole, qu'il découvre la façon de dire les choses sans les dire. Voilà ce que c'est de pas suivre les cours de manipulation, de subtilité, de fourberie quand on est jeune pour préférer la baffe.

Il n'y a pas eu d'offense. Je parlais en toute simplicité de ce que je ne suis pas. Quant à votre proposition violente Bayushi-san, je pense qu'on peut s'en passer aisement.
Raser un jardin permet d'y voir plus clair, certe, mais que fait on de la beauté et de l'harmonie ?

Ne vaut-il pas mieux coupé le bras quand la gangrène atteint le poignée, au lieu de mourir sans honneur.

Si la tête est atteint ne vaut-il pas mieux décapité la personne avec honneur.

En ce qui concerne le bras c'est une question de survie. La decision est evidente dans ce cas bien precis. On evite en plus une mort sans honneur mais c'est complètement secondaire.
J'ajouterai que si on le fait soit même en maîtrisant sa douleur, là, l'honneur prend son importance.
Pour en revenir au sujet, la critique est une bonne chose, elle permet de s'ameliorer et si on y voit une offense, on perd l'occasion de devenir plus fort. Je dis bien critique et pas insulte. Celui qui arrive à distinguer les deux a dejà parcouru une partie du chemin vers la sagesse.
Agir sans reflechir peut s'avérer negatif voir fatal. Le detachement, la maîtrise et la reflexion permettent de tirer les meilleurs benefices d'une situation.