Effectivement, c'est impressionnant.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Highland_%28race_bovine%29
P.S.: y a un moyen facile de réduire la taille d'une image ?
Cheval écossais de trois mètres de haut
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Yannick
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Cheval écossais de trois mètres de haut
J'ai enfin trouvé la race de cheval écossais dont nous a parlé samuel !
Effectivement, c'est impressionnant.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Highland_%28race_bovine%29
P.S.: y a un moyen facile de réduire la taille d'une image ?
Effectivement, c'est impressionnant.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Highland_%28race_bovine%29
P.S.: y a un moyen facile de réduire la taille d'une image ?
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Pik_0fr
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Apparement le veritable cheval ecossai est une race disparu au XVII[sup]ème[/sup] le "Scottish Galloway" qui serai un grand Welsh Pony de type B (les Welsh de type B font au maximum 1,37m et les type C 1,45m au garrot).
Pik_0fr, Skull Squadron Ace
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Pik_0fr
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Re: Cheval écossais de trois mètres de haut
Souhait satisfait. Et un petit mod rajouté. Réduction automatique des images.Yannick a écrit :P.S.: y a un moyen facile de réduire la taille d'une image ?
Pik_0fr, Skull Squadron Ace
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Yannick
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Concernant les chevaux des cosaques, j'ai trouvé ça :
Cheval du Don : race ancienne créée au 18e par les Cosaques russes. Le chef cosaque MI Platov fonde le premier haras sur le Don en 1770, avec notamment ses propres chevaux arabes perses et turcs pris lors des campagnes de Turquie et de Perse du 18e. Le Don résulte de croisements nombreux et compliqués entre des chevaux indigènes mongols, des chevaux Karabakh, Turkmène, arabes et perses (et Karabair ?). Puis au 19e avec des Orlov-Rostopchin, des Strelitz, puis des PS. Elevage empirique au début, avec une certaine rivalité entre les différents éleveurs cosaques ; la sélection des chevaux se faisant dans les courses traditionnelles locales et les campagnes militaires. Puis il est devenu plus étatique et plus professionnel au 19e, avec le règlement "des troupeaux de chevaux des villages cosaques", puis en 1842 le Règlement des haras militaires de l'armée du Don", visant à mettre à disposition des villages cosaques les étalons produits au haras pour améliorer la qualité des chevaux de l'armée. Le Don est un cheval de petite taille, d'un type uniforme et toujours alezan doré. Il est robuste, énergique et extrêmement résistant ; ses hauts faits dans des raids d'endurance sont célèbres en Russie. La race Don a amélioré d'autres races et a contribué au Boudienny. Les Don sont élevés en Russie dans les régions de Rostov (haras Budienny) et Volvograd, au Kazakhstan, en Kirghizie et le territoire de Stavropolsk (données de 1976).
Source : Lexique du cheval
Cheval du Don : race ancienne créée au 18e par les Cosaques russes. Le chef cosaque MI Platov fonde le premier haras sur le Don en 1770, avec notamment ses propres chevaux arabes perses et turcs pris lors des campagnes de Turquie et de Perse du 18e. Le Don résulte de croisements nombreux et compliqués entre des chevaux indigènes mongols, des chevaux Karabakh, Turkmène, arabes et perses (et Karabair ?). Puis au 19e avec des Orlov-Rostopchin, des Strelitz, puis des PS. Elevage empirique au début, avec une certaine rivalité entre les différents éleveurs cosaques ; la sélection des chevaux se faisant dans les courses traditionnelles locales et les campagnes militaires. Puis il est devenu plus étatique et plus professionnel au 19e, avec le règlement "des troupeaux de chevaux des villages cosaques", puis en 1842 le Règlement des haras militaires de l'armée du Don", visant à mettre à disposition des villages cosaques les étalons produits au haras pour améliorer la qualité des chevaux de l'armée. Le Don est un cheval de petite taille, d'un type uniforme et toujours alezan doré. Il est robuste, énergique et extrêmement résistant ; ses hauts faits dans des raids d'endurance sont célèbres en Russie. La race Don a amélioré d'autres races et a contribué au Boudienny. Les Don sont élevés en Russie dans les régions de Rostov (haras Budienny) et Volvograd, au Kazakhstan, en Kirghizie et le territoire de Stavropolsk (données de 1976).
Source : Lexique du cheval
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Yannick
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Concernant les déplacements dans la boue de la plaine ussurane, j'ai essayé de regarder ce qui s'est passé dans les retraites de Russie napoléonnienne et nazi.
Par exemple, j'ai trouvé ça, mais ce n'est pas forcément une source vérifiée:
En définitive, l’Union soviétique a dû son salut davantage à son arriération qu’à tous les progrès techniques accomplis depuis la révolution soviétique. La plupart des routes soviétiques étaient des pistes sablonneuses. En se dissolvant en une boue sans fond quand il pleuvait, elles ont davantage contribué à arrêter l’invasion que tous les sacrifices héroïques de l’Armée rouge. Si le régime soviétique avait construit un système de routes comparable à celui des pays occidentaux, elle aurait été écrasée presque aussi rapidement que la France.
Mais cette conclusion a une réciproque. Adolf Hitler a perdu ses chances de victoire parce que la mobilité de son armée était appuyée sur des roues et non sur des chenilles. Sur les routes boueuses de l’Union soviétique, les camions s’enlisaient alors que les Panzer pouvaient continuer. Si les forces de Panzer avaient disposé de véhicules de transport montés sur chenilles, elles auraient pu atteindre les centres vitaux de l’Union soviétique avant l’automne, malgré la boue.
Source : http://die-cast-army.over-blog.com/arti ... 333-6.html
Concernant l'usage de chevaux dans la boue, il semble bien qu'en plusieurs occasions, des charges ait eu lieu dans des conditions impossibles, comme sous la pluie, dans la boue, en remontant une pente.
Un élément d'explication pourrait résider dans le fait (lu dans un essai) que le principal facteur d'efficacité d'une charge n'est pas sa vitesse mais la cohésion de la troupe, et que nombre de charges se faisaient au trot, voir au pas.
J'ai un peu lu tout et son contraire sur la cavalerie. Pour GURPS, la charge se fait à 500 m par minute, pour un wargamer connu c'est la cohésion de la formation qui prime. Pour GURPS, la faiblesse de la cavalerie c'est qu'une fois qu'elle a chargé, les chevaux sont épuisés, elle est dispersé et ne peut se reformer, ses membres isolés étant à la merci de l'infanterie. Dans les compte-rendus historiques (enjolivés ?), on parle de plus de dix charges par bataille. Concernant les chevaliers médievaux, j'ai lu que la charge à la lance était plus un sport (la joute) qu'une méthode de combat effective.
Je n'ai pas réussi à trouver d'opinion fiable et tranchée sur le net sur ces questions. Si ça vous amuse, allez voir comment des joueurs de Medieval Total War se prennent la tête pour savoir qui a l'avantage tactique entre la cavalerie et les formations compactes d'infanterie (Lien).
Voilà, commentaires bienvenus (s'il y a quelqu'un d'autre que moi, Davy et Pablo sur ce forum ...).
Par exemple, j'ai trouvé ça, mais ce n'est pas forcément une source vérifiée:
En définitive, l’Union soviétique a dû son salut davantage à son arriération qu’à tous les progrès techniques accomplis depuis la révolution soviétique. La plupart des routes soviétiques étaient des pistes sablonneuses. En se dissolvant en une boue sans fond quand il pleuvait, elles ont davantage contribué à arrêter l’invasion que tous les sacrifices héroïques de l’Armée rouge. Si le régime soviétique avait construit un système de routes comparable à celui des pays occidentaux, elle aurait été écrasée presque aussi rapidement que la France.
Mais cette conclusion a une réciproque. Adolf Hitler a perdu ses chances de victoire parce que la mobilité de son armée était appuyée sur des roues et non sur des chenilles. Sur les routes boueuses de l’Union soviétique, les camions s’enlisaient alors que les Panzer pouvaient continuer. Si les forces de Panzer avaient disposé de véhicules de transport montés sur chenilles, elles auraient pu atteindre les centres vitaux de l’Union soviétique avant l’automne, malgré la boue.
Source : http://die-cast-army.over-blog.com/arti ... 333-6.html
Concernant l'usage de chevaux dans la boue, il semble bien qu'en plusieurs occasions, des charges ait eu lieu dans des conditions impossibles, comme sous la pluie, dans la boue, en remontant une pente.
Un élément d'explication pourrait résider dans le fait (lu dans un essai) que le principal facteur d'efficacité d'une charge n'est pas sa vitesse mais la cohésion de la troupe, et que nombre de charges se faisaient au trot, voir au pas.
J'ai un peu lu tout et son contraire sur la cavalerie. Pour GURPS, la charge se fait à 500 m par minute, pour un wargamer connu c'est la cohésion de la formation qui prime. Pour GURPS, la faiblesse de la cavalerie c'est qu'une fois qu'elle a chargé, les chevaux sont épuisés, elle est dispersé et ne peut se reformer, ses membres isolés étant à la merci de l'infanterie. Dans les compte-rendus historiques (enjolivés ?), on parle de plus de dix charges par bataille. Concernant les chevaliers médievaux, j'ai lu que la charge à la lance était plus un sport (la joute) qu'une méthode de combat effective.
Je n'ai pas réussi à trouver d'opinion fiable et tranchée sur le net sur ces questions. Si ça vous amuse, allez voir comment des joueurs de Medieval Total War se prennent la tête pour savoir qui a l'avantage tactique entre la cavalerie et les formations compactes d'infanterie (Lien).
Voilà, commentaires bienvenus (s'il y a quelqu'un d'autre que moi, Davy et Pablo sur ce forum ...).
- dexco
- Victime Sacrificielle
Message
mon avis personnel à moi que je partage c'est
1- les écossais ont toujours été connu pour la faiblesse de leur cavalerie tant en nombre qu'en qualité
2- l'efficacité d'une charge de cavalerie tiens principalement de sa formation mais la force d'impact d'une lance de guerre (modèle moins long et fragile que la lance de joute) est terrible. Par contre un cavalier seul face à de la piétaille l'écrase mais face à une unité d'infanterie cohérente se fait massacrer.
3- quand au rapport d'efficacité d'une unité d'infanterie serrée face à une charge de cavalerie lourde tout dépend de l'époque et surtout du terrain. Les bouguignons se rapellent des piquiers suisse et les arabes des premières croisades des cavaliers francs...
1- les écossais ont toujours été connu pour la faiblesse de leur cavalerie tant en nombre qu'en qualité
2- l'efficacité d'une charge de cavalerie tiens principalement de sa formation mais la force d'impact d'une lance de guerre (modèle moins long et fragile que la lance de joute) est terrible. Par contre un cavalier seul face à de la piétaille l'écrase mais face à une unité d'infanterie cohérente se fait massacrer.
3- quand au rapport d'efficacité d'une unité d'infanterie serrée face à une charge de cavalerie lourde tout dépend de l'époque et surtout du terrain. Les bouguignons se rapellent des piquiers suisse et les arabes des premières croisades des cavaliers francs...
- Fengal
- Victime Sacrificielle
Message
http://www.le-site-cheval.com/races/clydesdale.php
Pour montrer que sam avait bien vue un grand cheval ecossais!
Pour montrer que sam avait bien vue un grand cheval ecossais!
